Telle une souris...

Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 23/10/2007

Dès qu'il eu des voix, Jarlaxe dégaina son arme, prèt a agir a tout instant, contre n'importe qui, qu'il soit pirate ou autorité. Mais une main saisit la sienne. Lawrence lui indiquait de la suivre car elle connaissait une issus. Il semblait que se combat en serait un qui ne commencerait jamais. Il la suivit malgré contre son gré. Elle l'amenait dans des couloirs qu'il n'aurait jamais cru imaginé. Il semblait que c'était des couloirs de tombeau, mais la pierre était grise avec des chandellier sur les mur. Quel endroit sinistre a ses gouts. Ils était rendu dans un pièce qu'il appelait un confessoir. A quoi elle pouvait bien servir? Elle lui dit d'être discret. Esce une blague? Comment pouvait il ne pas être discret! Elle était sur ses guardes, on pouvait lui en pardonner. Quand ils entendirent les pas des soldats, Jarlace serra sa cimeterre, près a trancher des ennemis, mais Lawrence lui prit encore la mains et l'emena au fond de la salle. Elle tira une série de levier qui avait la forme de chandelier. Ils était rendu dans des donjons, comme un lieux sacrée pouvais avoir un endroit de se genre, réservé au mort ou au prisonnier? Il semblait vide, abandonné de la lumière. Elle tenait toujours sa main durant les quelques minutes qu'ils marchèrent dans la noiceur. Ils s'arrêtèrent et Lawrence alla allumer des torches. l'endroit était frais, mais l'homme était habitué au nuit froide du désert. Elle semblait avoir froid et c'était normal, elle n'avait qu'une simple robe.

-C'est une chance que vous connaissiez l'endroit...

Il détachit une cape de sa tunic et alla la poser sur le dos de Lawrence.

-Ce n'est pas grand chose, mais sa vous tiendra un peu au chaud.

Jarlaxe serra enfin au fourreau son arme et regardit en essemble l'endroit.

-Mais quel est cette endroit?

Alors que Lawrence regardait le sol, Jarlaxe détacha une cape de sa tunic et vint la poser sur ses épaules. Au contact du tissu, elle releva la tête et regardait l'homme du désert. Elle lui rendit un sourire reconnaissant.

"Merci!"

Lui rétorqua-t-elle alors qu'elle enroula la cape autour de son corps.

Puis, il lui demanda où ils étaient. Lawrence eut un petit sourire amusé, se remémorisant des souvenirs qu'elle avait crée dans sa mémoire ici-même. C'était son frère cadet qui lui avait fait découvrir l'endroit. Il l'emmenait ici pour y jouer. Tout simplement. Ainsi, ils avaient développé une très grande complicité. Puis, lorsqu'il s'était marié, il lui avait confié l'endroit. Elle devait en prendre soin. C'était maintenant devenu son jardin secret.

"D'emblée, il s'agissait de cachots pour enfermer les infidèles de Dieu je crois. Et puis, mon frère cadet m'a fait découvrir cet endroit. Finalment, j'en ai hérité lorsqu'il s'est marié."

Lui expliqua-t-elle alors qu'elle se leva pour faire le tour, se remémorant des souvenirs avec son frère. Un sourire heureux lui vint aux lèvres. Elle alla près des murs, passant sa main sur les pierres toujours aussi froides.

"Et je viens ici parfois pour me recueillir..."

Lui avoua-t-elle.

Elle resta silencieuse un instant, puis, se retourna, toujours aussi souriante, et regarda Jarlaxe.

"Bienvenu dans mon jardin secret, Monsieur Fehr."

Lui lança-t-elle. Elle regarda de nouveau l'endroit et lâcha un petit rire amusé.

"Bon, je sais, c'est plutôt un endroit sinistre, mais au moins je sais que je peux réfléchir sans être continuellement dérangée..."

Dit-elle.

Elle fixa de nouveau Jarlaxe, la lumière du feu se réflètant dans ses pupilles.

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Les infidèles de Dieu? Repesct-il pas les autre religion dans la leur? Et de toutes façon, pourquoi les emprisonner. Quand un crimes avait un rapport avec les dieux, la meilleur a faire qu'il fesait eux, c'était de le tuer net, pour qu'il puisse être jugé par les dieux eux-même. Et qui voudrait d'un endroit avec tant de froideur. Puis vit l'expliquation, un endroit pour se recueillir, c'était assez plausible, l'endroit était tranquille et silencieux et en plus, personne n'y était venu depuis un sacré bout de temps.

-J'en suis honnoré d'y être Miss Dorerty.

Elle le fixa, avec des yeux rempli du reflet des flammes. Il lui renvoya le regard. Puis il pensa a leur sortit, devrai-til rester ici indéfidiment.

-A-t-il une autre sortie dans ses cachots?

Lawrence alla se rasseoir sur le rocher en redécouvrant l'endroit des yeux. Puis, elle répondit finalement à Jarlaxe en le regardant.

"Eh bien, oui. Mais attendons que les autorités se calment et en viennent à abandonner leurs recherches."

Lui dit-elle.

Elle se mit alors à réfléchir à la sortie. Oui, il y en avait une. Son frère et elle l'avait découvert à l'insu des pères. En effet, il y avait seulement ces derniers qui devaient savoir l'emplacement de cette issue. En cas de guerre, ce passage menait directement à une maisonnée dans la forêt. Personne ne connaissait l'existence de cette demeure, ni même le Commodore lui-même. De là, ils parcoureraient les sentiers non battus afin de ne pas faire soupçonner la présence de cette demeure. Ensuite, ils arriveraient par un sentier de terre et aboutiraient finalement à Port-Royal au bout de seulement 30 minutes de marche.

Elle regarda Jarlaxe qui était toujours debout. Elle l'invita à venir s'asseoir à côté d'elle.

"Venez vous asseoir, Monsieur Fehr."

Dit-elle courtoisement.

"Ne restez point debout!"

Remarqua-t-elle. Elle lui lança un sourire invitant et réconfortant.

À l'arrière-plan, comme musique de fond, on entendait l'eau s'écouler, goutte par goutte, du plafond de pierres. Ainsi, son bruit se répercutait sur les murs, créant ainsi un écho et rendant également l'endroit encore plus lugubre et sinistre. Dans la cape, la jeune femme se réchauffait le corps. L'endroit était frais. Les torches ne produisaient guère une chaleur satisfaisante.

Lawrence continua de fixer Jarlaxe comme une jeune fille intriguée par un tour de magie. Elle voulait le connaître, en apprendre sur le pays des sables. À quoi il ressemblait? Il y avait-il uniquement du sable? Y retrouvait-on des arbres, de l'herbe, des habitations comme à Port-Royal?

"Monsieur Fehr..."

Dit-elle avec une voix calme et mystérieusement intéressée.

"Parlez-moi du pays des sables..."

Lui demanda-t-elle alors qu'elle voulait nourir et assouvir sa curiosité qui prenait le dessus depuis qu'elle venait de le rencontrer.

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Il acquiesta le fait que Lawrence venait de dire. Sa ne serai pas prudent de sortir tantdis que les autorité les cherchais, même s'y il en avait aucune idée de qui ils étaient. Il attendait la debout, patient, le temps passif. Lawrence lui proprosa de s'assir a ses côté. Il était plutot réticent a aller s'assir, surtout a côté de cette jeune femme, qui l'intriguait de sa curiosité et de son aisance, qui était loin d'être commun dans sa société arabe. Il finit pas s'assoir. Le bruit des gouttes ne le dérangeait guère, il s'y était rapidement habitué. La froideur des lieux, la niut dans le désert c'était pire. Elle lui demandit de lui raconté qu'Esce qu'il était son pays, rempli de sable.

-Et bien...de la ville d'ont je suis parti pour venir ici, se Nomme Cairo, le centre commercial du pays, qui est batit près d'un fleuve qui se nomme Nil. Se fleuve, se continu jusqu'au bout du monde, je n'ai jamais vu la fin, aussi loin que j'ai pu me rendre. Les villes se batisse près de se fleuve, pour pouvoir se faire des champs grâce a l'eau qui a en ressource indéfini. A autre par, se n'est que le désert, le sable, ma demeure. A quelque endroit, il y a des temple, de grand temple, des tombeau de paharon disparu. Des endroit maudit par ses habitants, comme qui se voile au levé du soleil, et qui disparait rendu a la tombé de la nuit...

Lawrence absoba chaque parole, chaque description, chaque ficelle afin de se souvenir de ce pays des sables. Elle irait sans doute jamais et sa seule source d'informations était Jarlaxe. Étant une fille cultivée et aimant les nouvelles connaissances, elle était plus que fascinée par ce pays désertique.

Nil...ce long fleuve mythique. À la longueur interminable. Une eau que les peuples égyptiens se servent pour cultiver leurs terres et vivre. Vivre de l'eau. Que ferait-on sans elle? Sans doute, serions-nous tous mort à l'heure actuelle. Peut-être que même nous n'existerions même pas. L'eau, source de vie, est indispensable.

Tombeau? Pharaons? Temple? De quoi pouvaient-ils s'agir? Qu'est-ce que c'est? À ses questions, ses yeux se plissèrent légèrement. Elle voulait en savoir davantage sur ces éléments.

"Qu'est qu'un tombeau, un pharaon et un temple?"

Lui demanda-t-elle au bout de quelques instants alors qu'un silence s'était installé parmi les deux interlocuteurs.

On pouvait lire la curiosité dans ses yeux. La fascination dans sa voix. C'était évidemment qu'elle s'intéressait fortement à ce pays des sables. Malgré son éducation, elle trouvait que ses connaissances étaient limitées. Elle trouvait qu'elle en apprenait beaucoup plus avec Jarlaxe qu'avec le tuteur qu'elle avait eu plus jeune. Elle trouvait également que ses nouvelles connaissances ne se limitaient pas à l'histoire britannique, qu'elles allaient plus loin encore et qu'elle lui démontrait qu'une autre civilisation habite ailleurs qu'ici et en Europe.

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Elle avait soif de connaissance, et sa se voyait, la fascination dans se petit visage, la curiosité dans ses yeux. Elle voulait en savoir plus, qu'esce que c'était des tombeau, phararon et temple. A voir que c'était deux personne différente qui venait de deux monde totalement différent.
-Et bien en gros un tombeau et est endroit ou en place les corps de personne les plus importante ou les maudites. On leur construit des tombeau, pour que leur voyage dans l'autre monde se fasse sans embuche et que leur place sois réservé.

Il pris une petite pause, pensant a se qu'il allait dire. Comment y expliquer se qu'il avait su depuis qu'il était jeune, se qu'il n'avait jamais dut a avoir a aprrendre, comme l'enseigner a d'autre.

-Le parahon était celui qui gouvernait sur la région, qui était ceux qui communicait avec les dieu en rêve. Et les temples, c'était les batiment qu'on construisait pour les dieux, pour les priers, pour leur donner offrande, comme votre église en quelque sorte...

Un pharaon serait, donc, comme le roi en Angleterre. Un temple, l'équivalent de leur église. Et finalement, un tombeau, un synomyne dans une autre croyance et qui signifiait qu'elle reposait sous, comme dans un cercueil dans un cimetière à l'extérieur. Alors, il y avait vraiment des similitudes entre leur deux mondes. Cependant, les différences en général se limitaient aux mots employés, à leurs croyances et à leur mode de vie complètement distincte.

Lawrence baissa la tête, réfléchissant à ses nouvelles connaissances. Tant de nouvelles choses en si peu de temps. Décidément, lorsque nous avons soif de connaissance, nous apprenons en peu de temps. Comme quoi que la passion nous aveugle du temps. Surtout que la compagnie était très loin d'être désagréable.

La jeune anglaise releva la tête et sourit à Jarlaxe, démontrant ainsi sa reconnaissance.

"Pourquoi votre pays me fascine à ce point, Monsieur Fehr?"

Lui demanda-t-elle, ses yeux fixant l'homme de manière à ne pas l'importuné.

Puis, pensant à sa vie et à son pays, elle rebaissa de nouveau la tête, presque nostaligique.

"J'ai l'impression que mon pays est moins intéressant..."

Sur ce, elle se leva, allant à l'autre bout de la pièce en lui faisant dos. Respirant d'un air triste, elle ne pleurait pas pour autant. Cette léthargie caractérisant sa vie lui revint. Sa vie semblait monotone et sans rebondissement comparativement à l'homme du désert. Il avait quitté son pays, sans la moindre protestation de la part de ses parents apparemment. Dans le cas de Lawrence, jamais elle n'avait quitté la terre. Son père savant la passion qu'elle partage avec les eaux, il a toujours craint une révolte de la part de sa fille afin qu'il la laisse partir et naviguer sur les flots, risquant ainsi de ne plus jamais la voir.

Et puis, la pièce d'or. Cette fameuse pièce d'or pour laquelle elle vouait une fascination inimaginable. Elle se souvint de la première fois qu'elle avait posé les yeux sur elle. Sur cette objet possédant, sans doute, une très grande valeur. Elle fit volte-face, fixant de nouveau Jarlaxe.

"Monsieur Fehr..."

Lança-t-elle presque dans un soupir pour comme attirer son attention. Elle s'avança vers lui, recherchant la pièce d'or dans ses mains, mais en vain. Il l'avait caché.

"...cette pièce d'or..."

Continua-t-elle tout en s'avançant et en retournant s'asseoir à ses côtés en le fixant profondément dans les yeux.

"...parlez-en moi. Ce Dieu qui est incrusté dessus, Horus...décrivez-le moi. Pourquoi est-ce lui qui vous dicte votre destinée?"

Lui demanda-t-elle alors que la curiosité brillait toujours dans ses yeux noisettes.

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Elle semblait préféré le pays de sable au lieu de son propre pays de mer. Comment pouvait on préféré un pays ou il y a si peu d'eau a boir qu'il faut faire la guerre entre tribu pour s'apoprier un simple Oasis.

-Il semble toujours avoir plus d'Oasis dans les terre lointaine...

Il dit cela en réponse que son pays lui semblait bien moin intéressant, comme pour y démontrer qu'il fallait mieu se contenter de se qu'on avait et de trouver la beauté caché dans son propre terrain. Puis, elle s'approcha de lui, l'appelant par son nom. Elle voulait savoir quelque chose a propros de sa pièce d'or. Elle se rassit a ses côtés. Elle voulait savoir que représentait Horus, qui il est.

-Et bien Horus, d'après notre culture, fut le premier de tout les Pharaon, gouvernant sur tout l'Egypte. Notre tribu, les Magi, nous sommes décendant direct de la garde sacré des pharaons. Depuis des millénaires, nous protégeons les fils d'Horus. Depuis tant d'années, Horus nous dictes se que nous devons protéger, notre destin. J'ai remarqué et se que j'ai appris, qu'Horus n'avait pas choisi la même route que mes frères...

Toujours aussi fascinée, notre chère Lawrence ne cessait de fixer Jarlaxe avec des yeux brillants de curiosité. Elle avait soif d'apprendre. Elle voulait en savoir plus. Qui était ce Horus entre autre. Puis, Jarlaxe le lui avait dit. Il le lui avait décrit. Elle absorba chaque nouvelle information, comme si demain, elle allait ne peut s'en souvenir. Par le fait même, elle voulait profiter de chaque instant. Comme il était bon d'en apprendre sur d'autres cultures, d'être aussi ouverte d'esprit.

"Fascinant..."

Murmura-t-elle. Elle le dit si bas que l'homme du désert ne put à peine l'entendre, si ce n'est que de savoir lire sur les lèvres.

Puis, un moment de silence. On entendit de nouveau les gouttes d'eau tombées du plafond, résonnant dans l'endroit souterrain. Elle lâcha les yeux de l'homme, regardant partout sans fixer un point fixe, réfléchissant à toutes ces nouvelles connaissances. Un sourire lui vint aux lèvres. Puis, après un moment, elle regarda de nouveau Jarlaxe, toujours avec ce léger sourire.

"Et avez-vous une idée de ce pourrait être votre destinée? Pourquoi serait-elle différente de celle de vos frères?"

Lui demanda-t-elle avec une voix qui se voulait ni pressante, ni stressante. Une voix douce et charmante. Une voix qu'on ne peut refuser de répondre par un simple oui ou un simple non.

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Elle était des plus fascinée par ses histoires de sa religions, il en avait des chapitres a se sujet, mais il avait toujours été un piètre conteur. Elle dit un mot, Fascinée. Il ne connaissait pas se mot, mais il allait probablement l'apprendre. Le silence revenu, toujours troublé par les son des gouttes d'eau, toujours aussi rythmé. Un sourire apparu sur les lèvres de Lawrence. Elle lui demanda pourquoi il pensa que sa destiné était ici, loin de ses frères.

-Je l'ai vu en songe, j'ai vu ses iles, cette mer infinie. Je me suis aperçu que cette endroit, était impossible qu'il sois dans ma terre natal. Les dieux avait envoyer un message. J'ai vu Horus, sous forme de faucon, survolant l'Eau...

Lawrence se tut, voulant ainsi laisser planer l'atmosphère et en profiter pour s'imaginer ce que Jarlaxe venait de lui dire. Décidément, elle l'appréciait beaucoup de part son ouverture d'esprit et sa générosité pour avoir répondu à ses questions sans être trop réservé. Faut dire, elle lui avait fait confiance assez rapidement.

Ils échangèrent pendant près d'une heure, peut-être deux. En ces endroits enselevis, nul ne compte le temps. Même si on s'attardait sur le son des gouttes d'eau qui forment les secondes, on s'y perd assez rapidement, pouvant ainsi virer fou.

Au bout des ces nombreuses minutes, Lawrence se leva et laissa son ouïe aller. Enfin, elle n'était pas aussi développer que n'importe quel humain, mais à force d'être venue ici souvent, on savait pertinemment si l'on pouvait entendre des pas au dessus de soi-même. Rien. Pas une seule vidration indiquant un quelconque signe de vie au dessus. Ils pourraient sortir sans être poursuivis. Elle se retourna vers Jarlaxe et lui sourit.

"La voie est libre."

Dit-elle.

"Nous pouvons sortir sans être pourchassés par les autorités."

Dit-elle encore d'une voix étonnemment calme et sereine.

Elle se dirigea vers une torche, prit le flambeau allumé et et se retourna vers Jarlaxe qui n'avait toujours pas bouger.

"Vous venez?"

Dit-elle avec un sourire. Puis, ils s'engoufrèrent dans le lugubre et sinistre couloir. Lawrence chercha le fameux point de repère qui leur permettrait de sortir à l'extérieur: une simple tête de dragon gravé dans la pierre. Ils marchèrent pendant plusieurs minutes, la jeune femme à la tête. Elle regarda chaque mur avec une attention particulière. Puis, elle l'aperçut. Finalement, ils étaient rendus au bout du couloir et ils avaient emprunté les bonnes directions. Elle appuya dessus. Puis, la pierre se retira dans le mur et une ouverture se fit sur le mur adjacent, perpendiculaire à celui-ci. Elle se retourna vers l'homme du désert avec toujours ce même sourire.

"Nous y voilà, Monsieur Fehr!"

Devant, se dessina l'extérieur. Il faisait toujours aussi sombre. Impossible de dire l'heure, le soleil n'étant pas au rendez-vous. Lawrence empoigna le premier pas vers l'extérieur, respirant finalement de l'air nouvelle. Elle attendit que Jarlaxe sorte avant de continuer leur route. En effet, ils étaient rendus dans la forêt, où les arbres vous donnent l'impression d'être dans un cocon, mais ayant des trous ici et là, permettant de voir le ciel.